Les beaux jours reviennent et se combinent idéalement avec le relâchement des contraintes sanitaires liées à la pandémie. Pour fêter le retour du printemps, de l'été et des célébrations à plusieurs, venez profiter d'une série de mini-concerts et autres prestations chaque dimanche soir, dans l'église ou sur son parvis. Qui sait, on pourra peut-être y boire un coup ?
Concrètement :
C'est gratuit (sauf si vous voulez soutenir l'artiste) ;
C'est chaque dimanche, du 20 juin au 25 juillet, après la messe de 20h ;
C'est pour tout le monde*.
La line-up complète est sur https://www.ndesperance.be/festi-nde !
Osvaldo, Pierre et Benoît : Venez découvrir la musique des Andes !
Ce dimanche 18/07, le voyage se poursuit vers les Andes avec Osvaldo, Pierre et Benoît. Au son du charango et de la contrebasse, ils vous offriront un moment d'évasion par leur musique aux sonorités sud-américaines.
Osvaldo SEREY est né à Santiago au Chili en 1972. A Santiago il étudie la pédagogie en éducation musicale puis y enseigne la musique à partir de 1992. Son premier instrument est le charango. Arrivé en Belgique en 2001 pour faire des études à l’UCLouvain, il enseigne l’espagnol à l’Institut des langues vivantes de l’UCLouvain depuis 2001.
Pierre TILQUIN a 19 ans, habite à Louvain-la-Neuve et vient de terminer sa première année de Médecine. Il a commencé le charango par curiosité et par attirance pour la musique, et la culture sud-américaine. Il y a été initié il y a 7 ans par Osvaldo, son professeur de guitare à cette période. Il a débuté la guitare classique à 8 ans. Aujourd’hui, il pratique aussi la guitare folk et la guitare électrique.
Le duo d’Osvaldo et Pierre sera accompagné de Benoit MOREAU à la contrebasse. A l’époque de sa formation en académie et en chorale, Benoit a été imprégné de musique des Andes, qui avait beaucoup de succès en Europe à cette époque. Cette musique ne l’a jamais quitté et a été au centre de plusieurs de ses nombreux projets vocaux et instrumentaux.
* Bien entendu, la jauge est toujours limitée à 200 personnes à l'intérieur, donc on s'adaptera si jamais on atteint ces limites.