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Toussaint 2023: collecte spéciale pour la Terre Sainte


L'ASBL Aide à l'Eglise en Détresse demande notre soutien pour l'aide d'urgence aux Chrétiens de Palestine. Comme chacun sait, la situation est particulièrement dramatique à Gaza, mais elle est critique aussi en Cisjordanie, où les habitants sont soumis à des restrictions sévères.


Plus que jamais, notre solidarité est nécessaire. A Notre-Dame d'Espérance, le produit des collectes du jour de la Toussaint sera reversé à l'Aide à l'Eglise en détresse.


Celles et ceux qui souhaitent en savoir davantage trouveront ci-dessous des détails, tirés du site internet de l'AED, sur les projets qui sont réalisés. Ce site permet aussi d'effectuer un don par paiement en ligne. Un don par virement est aussi possible au compte BE25 1960 0933 4182 (CREGBEBB).


Merci pour votre générosité.


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Bande de Gaza Pourquoi ? Il y a une crise humanitaire aiguë à Gaza. Un millier de chrétiens se réfugient dans deux lieux principaux : le monastère catholique de la Sainte-Famille et l'église grecque orthodoxe de Saint-Porphyre. Jeudi soir, ils ont été victimes des bombardements (plus de 16 morts). Les familles dorment dans les couloirs et les chambres des églises et des bâtiments adjacents. Quoi ? Le patriarcat latin de Jérusalem fournit des repas, de l'eau et des soins médicaux, parmi de nombreux autres services humanitaires et pastoraux. Sœur Nabila, avec d'autres sœurs et prêtres, essaie de prendre soin de ces familles. Elle a besoin de couvertures, de nourriture et de médicaments. Comment ? Bons alimentaires et médicaments : 200 euros par famille. Cisjordanie Pourquoi ? Il y a environ 37 000 chrétiens palestiniens vivant dans des villes de Cisjordanie comme Bethléem. En raison de la séparation complète entre Jérusalem et les zones de Cisjordanie, les chrétiens n’ont plus accès et perdent leur travail en Israël. Le tourisme dans les lieux saints de Cisjordanie (principalement Bethléem) a également été complètement arrêté. Ils ne peuvent pas payer leur loyer. La seule solution sera l'émigration. Avec une aide d’urgence, ces chrétiens peuvent survivre à la guerre et rester chez eux. Quoi ? L’objectif principal est de maintenir la sécurité alimentaire pour aider les familles chrétiennes les plus défavorisées économiquement à Jérusalem et en Cisjordanie. Ce soutien garantit que les enfants reçoivent une alimentation constante, tandis que les parents peuvent se concentrer sur la satisfaction d'autres besoins essentiels, tels que l'éducation et les soins de santé. Contrairement aux Israéliens, les habitants de Cisjordanie ne sont pas couverts par une assurance maladie. Avant le déclenchement de cette guerre, le patriarcat latin de Jérusalem prenait en charge environ 180 patients atteints de maladies chroniques ; ce nombre va désormais augmenter comme de plus en plus de familles perdent rapidement leurs moyens de subsistance. Comment ? Bons alimentaires : 125-250 euros par famille. Soutien médical : 150 euros par famille. Jérusalem-Est Pourquoi ? Un peu moins de 10 000 chrétiens palestiniens vivent à Jérusalem, alors que la population totale de Jérusalem s'élève à près d'un million. Plus de 40% des chrétiens travaillent dans le secteur du tourisme. En conséquence, de nombreux chrétiens se sont retrouvés au chômage en raison de l'arrêt complet du secteur du tourisme. Quoi ? Si les chrétiens ne paient pas leur loyer ou d’autres taxes foncières, ils seront rapidement expulsés et condamnés à des peines de prison. Le patriarcat latin de Jérusalem vise à protéger ces familles en offrant d’urgence des subventions financières aux plus vulnérables. Comment ? Bons alimentaires : 100 euros par famille. Subventions : 50 euros par famille. Aide aux migrants et demandeurs d'asile chrétiens Pourquoi ? Le « Vicariat pour les migrants et les demandeurs d'asile » (VMAS) est une Église « invisible », qui compte plus de 100 000 fidèles d'au moins huit nationalités. Leur statut juridique est très complexe en Israël, car ils sont classés sous six statuts juridiques différents. De nombreux immigrants chrétiens en Israël exercent souvent les professions les plus précaires. Beaucoup d'entre eux sont licenciés en raison du ralentissement économique provoqué par la guerre. Quoi ? Le Patriarche demande de ne pas oublier ces chrétiens de Terre Sainte et de les soutenir avec un petit programme d'aide. Un autre défi financier auquel le Vicariat est confronté est son incapacité à rouvrir les crèches. S'ils doivent rester fermés pendant une période prolongée, le vicariat ne pourra pas prendre en charge le loyer, les soins de santé, la nourriture et d'autres frais. Comment ? Logement, soins de santé et autres frais d'urgence : 10 000 euros.

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